Né le 27 septembre 1821 et mort à Genève le 11 mai 1881, Amiel a rédigé par intermittence dans sa jeunesse, puis assiduité dans son âge mûr, un Journal intime devenu un monument de la littérature du 19e siècle.
Sa publication aux Editions L’Age d’homme de 1976 à 1993 en douze volumes fut un travail acharné de transcription, de notices et d’appareil critique. On peut dire qu’il exprime trois instances : l’homme qui vit, celui qui observe sa vie et enfin celui qui l’écrit.
Nouvelle diffusion de la série d’émissions du 26 au 30 septembre 2016.
Né le 27 septembre 1821 et mort à Genève le 11 mai 1881, Amiel a rédigé par intermittence dans sa jeunesse, puis assiduité dans son âge mûr, un Journal intime devenu un monument de la littérature du 19e siècle.
Sa publication aux Editions L’Age d’homme de 1976 à 1993 en douze volumes fut un travail acharné de transcription, de notices et d’appareil critique. On peut dire qu’il exprime trois instances : l’homme qui vit, celui qui observe sa vie et enfin celui qui l’écrit.
Nouvelle diffusion de la série d’émissions du 26 au 30 septembre 2016.
La Berne populaire
En Vieille-Ville, Berne vit depuis le 17e siècle dans les quelque deux cents caves qui ont abrité les fêtes populaires, les tavernes, les petits théâtres et autres lieux populaires dérobés aux regards suspicieux des patriciens bernois.
Par Jonathan Haslebacher et Christian Ciocca.
Les pendules à l’heure à la Zytglogge
Depuis 1530, la grande horloge astronomique de Berne dans la tour de la Zytglogge anime la Vieille-Ville. Avec son jacquemart (personnage frappant la cloche des heures), ses sept ours symbolisant les jours de la semaine et ses nombreuses figurines, ce monument cristallise tout l’esprit de Berne.
Par Jonathan Haslebacher et Christian Ciocca.
La ville qui a vu l’ours
La légende veut qu’au cours d’une chasse, le premier animal pris deviendrait l’emblème de la ville créée en 1191 par le duc Berthold V de Zähringen. C’est ainsi qu’un plantigrade s’imposa sur le blason de la nouvelle cité dans une boucle de l’Aar.
Par Jonathan Haslebacher et Christian Ciocca.
Au Palais fédéral
Bien centrée au cœur du pays, lui-même au centre de l’Europe, Berne était la ville idéale pour présider aux destinées de la jeune Confédération dès 1848. Auparavant, sous l’Ancien Régime et la Régénération, la Diète siégeait dans diverses villes suisses : Zurich, Berne, Bâle.
Par Jonathan Haslebacher et Christian Ciocca.
C’est par l’adoption de la Constitution le 12 septembre 1848 que Berne fut désignée capitale officielle de la nouvelle Confédération helvétique, sur le modèle américain par ailleurs. Créée par Berthold V de Zähringen en 1191 dans une boucle défensive de l’Aar, Berne étendit rapidement son territoire et devint une puissance armée alliée des premiers cantons qu’elle rejoignit en 1353.
Un modèle largement américain
Dans le courant de démocratisation à l’œuvre sous la Restauration, plusieurs politiciens suisses s’inspirèrent directement de la Constitution américaine de 1776, laquelle avait été largement influencée par les prédicateurs puritains d’origine suisse.
Par Jonathan Haslebacher et Christian Ciocca.
Un rôle culturel au service de l’Europe
Le dernier prétendant au trône impérial, Otto de Habsbourg, mort quasi centenaire en 2011, a renoncé à son titre en 1961, au grand dam de sa mère, la dernière impératrice Zita d’Autriche. Les Habsbourg purent revenir officiellement en Autriche en 1990 après des décennies d’exil, notamment en Suisse.
Par Alain Perrottet et Christian Ciocca.
Des princes transfrontaliers
A l’époque moderne, Maximilien Ier puis son fils Charles-Quint étendirent leur empire par la conquête espagnole du Nouveau-Monde. Au 18e siècle, l’impératrice Marie-Thérèse régna d’une main-de-fer en imposant des alliances comme celle, finalement malheureuse de sa fille Marie-Antoinette au jeune Louis XVI.
Par Alain Perrottet et Christian Ciocca.
Une politique européenne de centralisation
Extension territoriale, politique d’alliance avec d’autres maisons puissantes, les Habsbourg ont su dès le 14e siècle dominer la politique européenne jusqu’au 19e siècle. Dépassé par les événements, le dernier empereur, Charles Ier, ne parvint pourtant pas à sauver son trône et son immense empire du démembrement nationaliste.
Par Alain Perrottet et Christian Ciocca.