Littérature : “La Femme aux Cheveux roux”, “Un roman mexicain : l’affaire Florence Cassez”, “White”
A chaque discipline artistique ses meilleurs critiques. Du lundi au vendredi de 19h à 20h.
durée : 00:56:01 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute littéraire : "La Femme aux Cheveux roux" d’Orhan Pamuk, "Un roman mexicain : l’affaire Florence Cassez" de Jorge Volpi, "White" de Bret Easton Ellis. Enfin, un coup de coeur de Lucile Commeaux pour "Révolution” de Florent Grouazel et Younn Locard (Actes Sud). – invités : Jean-Christophe Brianchon, Lucile Commeaux, Clémence Pouletty – Jean-Christophe Brianchon : Rédacteur en chef de I/O Gazette Lucile Commeaux : Productrice déléguée de La Dispute Clémence Pouletty : – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:09 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute arts plastiques : le Festival "Eldorado" abordé à travers deux expositions: "Eldorama" au Tripostal et "La déesse verte" à la gare Saint-Sauveur. Enfin, les coups de coeur des critiques. – invités : Sandra Adam-Couralet, Florian Gaité, Frédéric Bonnet – Sandra Adam-Couralet : Critique d’art, commissaire d’exposition indépendant et co-auteur du magazine "Les Regardeurs" Florian Gaité : Chercheur et critique pour Artpress Frédéric Bonnet : Journaliste au Journal des Arts – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:27 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute musique, deux albums et une exposition : “Electro – De Kraftwerk à Daft Punk” à Philharmonie de Paris, “Father of the Bride” de Vampire Weekend et “Chocolat” de Roméo Elvis. Enfin, un coup de coeur d’Olivier Lamm “Style and Fashion” (Soul Jazz Records). – invités : Mathilde Serrell, Pascaline Potdevin, Olivier Lamm – Mathilde Serrell : Pascaline Potdevin : Chef de la rubrique culture de Grazia Olivier Lamm : Journaliste musical, au service culture de Libération, spécialiste de musiques électroniques, critique pour Chronic’art et Trax, chroniqueur à « la Dispute » sur France Culture – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:43 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute spectacles vivants : “Electre / Oreste” à la Comédie Française (Richelieu), “Opening night” au Théâtre des Bouffes du Nord et "An Irish Story (une histoire irlandaise)" au Théâtre de Belleville . Enfin, un coup de coeur de Marie Sorbier. – invités : Marie Sorbier, Anna Sigalevitch, René SOLIS – Marie Sorbier : Rédactrice en chef de I/O Fondatrice et Directrice de la publication Anna Sigalevitch : Actrice et critique René Solis : Journaliste à délibéré.fr – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:08 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute cinéma : "Nous finirons ensemble" de Guillaume Canet, "Jessica Forever" de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, "Tremblements" de Jayro Bustamente. Enfin, un coup de coeur de Thierry Chèze pour "Gloria Bell". – invités : Thierry CHEZE, Antoine Guillot, Murielle Joudet – Thierry Chèze : Journaliste, critique de cinéma et animateur de télévision et de radio Antoine Guillot : Producteur de l’émission "Plan large" sur France Culture Murielle Joudet : – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:04 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute littéraire : "Comme la chienne" de Louise Chennevrière, "Les Pierres" de Claudio Morandini et Le Petit Salon de Jean-Christophe Brianchon. Enfin, un coup de coeur de François Angelier pour "Les Intellectuels français et la Guerre d’Espagne" de Pierre-Frédéric Charpentier – invités : Jean-Christophe Brianchon, François Angelier, Clémence Pouletty – Jean-Christophe Brianchon : Rédacteur en chef de I/O Gazette François Angelier : Producteur de l’émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire Clémence Pouletty : – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:56:31 – Arts plastiques : « La collection Courtauld: le parti de l’impressionnisme », « Les Nabis et le décor », « Stéphane Mandelbaum » – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute arts plastiques : "La collection Courtauld: le parti de l’impressionnisme" à la Fondation Louis Vuitton, "Les Nabis et le décor" au musée du Luxembourg, et "Stéphane Mandelbaum" au Centre Pompidou. Enfin un coup de coeur de Corinne Rondeau. * * "La collection Courtauld: le parti de l’impressionnisme" jusqu’au 17 juin à la Fondation Louis Vuitton Commissaire général : Suzanne Pagé Commissaires d’exposition : Angéline Scherf et Dr Karen Serres Présentation officielle : L’exposition présente la collection de l’industriel et mécène anglais Samuel Courtauld, l’une des plus significatives collections de peintres impressionnistes, rassemblés pour la première fois à Paris depuis 60 ans. L’exposition témoigne de l’extrême exigence et de l’engagement artistique de Samuel Courtauld. Elle réunit quelque 110 ouvres – dont une soixantaine de peintures, mais aussi des ouvres graphiques, ayant toutes appartenu à Samuel Courtauld et majoritairement conservées à la Courtauld Gallery ou dans différentes collections publiques et privées internationales. Elle présente également un ensemble de dix aquarelles de J.M.W. Turner qui ont appartenu au frère de Samuel Courtauld, Sir Stephen Courtauld. **L’avis des critiques : ** "Les Nabis et le décor" jusqu’au 30 juin au musée du Luxembourg Commissaires d’exposition : Isabelle Cahn, conservateur en chef des peintures au musée d’Orsay et Guy Cogeval, directeur du Centre d’études des Nabis et du symbolisme à Paris Présentation officielle : Véritables pionniers du décor moderne, Bonnard, Vuillard, Maurice Denis, Sérusier, Ranson, ont défendu un art en lien direct avec la vie, permettant d’introduire le Beau dans le quotidien. Dès la formation du groupe, à la fin des années 1880, la question du décoratif s’impose comme un principe fondamental de l’unité de la création. Ils prônent alors une expression originale, joyeuse et rythmée, en réaction contre l’esthétique du pastiche qui est en vogue à l’époque. Cette exposition est la première en France consacrée à l’art décoratif et ornemental des Nabis. Il s’agit pourtant d’un domaine essentiel pour ces artistes qui voulaient abattre la frontière entre beaux-arts et arts appliqués. **L’avis des critiques : ** "Stéphane Mandelbaum" jusqu’au 20 mai au Centre Pompidou Commissariat d’exposition : Mnam/Cci, A. Montfort Présentation officielle : Dans la famille Mandelbaum, le dessin est un mode d’expression naturel : Arié, le père de Stéphane, est un peintre reconnu et la mère, Pili, une illustratrice de talent. Le jeune Stéphane recourt rapidement à cette pratique pour pallier sa dyslexie, et développe des talents artistiques précoces. Il étudie à l’Académie d’art de Watermael-Boitsfort, puis en 1979, à l’école des arts plastiques et visuels d’Uccle où il s’initie à la gravure. Son ouvre dessiné témoigne à la fois de cette formation traditionnelle et de ses rapports complexes avec l’écriture. La facture classique de ses grands portraits est corrompue par les écritures, insultes et citations qui envahissent les marges. Pour cet artiste qui se passionne pour Rimbaud, les images et les mots forment un chant choral, quant à ses petits croquis quotidiens plus abstraits et succincts, ils constituent une sorte de journal de bord. Multipliant les références artistiques et frayant avec l’art brut, le dessin de Stéphane Mandelbaum apparaît, aujourd’hui, étrangement contemporain dans sa capacité à transgresser les genres. **L’avis des critiques : ** >> LE COUP DE COUR DE CORINNE RONDEAU : l’exposition "lycanthropos II" de José Manuel Egea à la galerie Christian Berst Présentation officielle : José Manuel Egea, né en 1988 à Madrid, est fasciné depuis son enfance par la figure du lycanthrope, ou loup-garou. Non seulement est-il convaincu d’en être un lui-même, mais il paraît vouloir nous révéler, par ses ouvres, que ce double monstrueux sommeille chez beaucoup d’entre nous, pour ne pas dire chez tous. Pour ce faire, il a développé une – invités : Corinne Rondeau, Ingrid Luquet-Gad, Anaël Pigeat – Corinne Rondeau : Maître de conférences en esthétique et sciences de l’art à l’Université de Nîmes et critique d’art Ingrid Luquet-Gad : Critique à La Dispute Anaël Pigeat : Editor-at-large du mensuel The Art Newspaper édition française, critique d’art et journaliste à Paris Match – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:44 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute musique classique : “Les Indes galantes” de Jean-Philippe Rameau et direction musicale de György Vashegyi (Glossa), “Inland” de Vanessa Wagner (InFiné), et “Orphée et Eurydice” de Gluck Christoph Willibald (Belvédère). Enfin, un coup de coeur d’Emmanuelle Giuliani. – invités : Anna Sigalevitch, Emmanuelle Giuliani, Laurent BURY – Anna Sigalevitch : Actrice et critique Emmanuelle Giuliani : Journaliste à La Croix Laurent Bury : Rédacteur en chef adjoint du site forumopera.com – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:55:50 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute spectacles vivants : “Qui a tué mon père” au TNS, “Les Elucubrations d’un homme frappé par la grâce” au Théâtre Antoine, et “L’amour en toutes lettres. Questions sur la sexualité à l’Abbé Viollet" (1924-1943)” au Théâtre de Belleville. Enfin, un coup de coeur. – invités : Caroline Châtelet, Philippe Chevilley, Fabienne Pascaud – Caroline Châtelet : Journaliste culturel, membre de Revue Incise Philippe Chevilley : Chef du service culture des Echos Fabienne Pascaud : Directrice de la rédaction de Télérama – réalisé par : Alexandre Fougeron
durée : 00:56:08 – La Dispute – par : Arnaud LAPORTE, Lucile Commeaux – Au sommaire de cette Dispute cinéma : "L’Adieu à la nuit" d’André Téchiné, "Monrovia, Indiana" de Frederick Wiseman et "90’s" de Jonah Hill. Enfin, un hommage d’Arnaud Laporte à l’acteur Jean-Pierre Marielle. – invités : Lily Bloom, Julien Gester, Corinne Rondeau – Lily Bloom : Critique cinéma et théâtre Julien Gester : Chef du service culture de Libération Corinne Rondeau : Maître de conférences en esthétique et sciences de l’art à l’Université de Nîmes et critique d’art – réalisé par : Alexandre Fougeron