Dans l’univers des super héros africains [1/3]: en Afrique du Sud, Nelson Mandela héros d’un comic book

| | Episode du | Durée : 00:02:14 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent, chaque jour, en deux minutes une photographie sonore d'un évènement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour.

Quand un héros de la nation inspire un jeune super-héros. C’est l’histoire que propose le comic book, Young Nelson (« Le jeune Nelson »). Vous aurez reconnu la référence à Nelson Mandela le premier président noir d’Afrique du Sud. Dans le comic book, les qualités de l’ancien chef d’État deviennent des supers pouvoirs dont hérite un jeune homme qui devra s’en servir pour affronter les problèmes de l’Afrique du Sud. Rencontre des deux auteurs du comic book dans leur ville à Rustenberg, deux frères qui veulent donner espoir à la jeunesse de leur pays. De notre envoyé spécial à Rustbenurg,Rustenburg, dans le nord du pays, ne ressemble ni à Gotham City, ni à Metropolis, mais cette ville moyenne sans gratte-ciel abrite bien un super-héros : le jeune Nelson : « En rentrant d’un entretien d’embauche, Nelson tombe sur une femme qui se fait braquer. Comme il fait de la boxe, il intervient et empêche les criminels de commettre le vol. » C’est la première bonne action de ce jeune homme dont l’histoire est ici racontée par Phemelo Dibodu co-auteur avec son frère Omphile du comic book Young Nelson  (« Le Jeune Nelson »). « C’est une histoire de super-héros qui s’inspire de la vie de Nelson Mandela dont les qualités sont transmises comme des pouvoirs à un jeune individu qui fait face aux défis contemporains de notre nation. »Ce jeune garçon du nom de Thabo deviendra Le Jeune Nelson après avoir donné de l’argent à une vieille mendiante dans la rue. Cet acte de générosité va le transformer durablement. « Ah ça fait mal, mon poignet est douloureux, finit de lire Phemelo. Et voilà, on a la première image de Nelson qui devient quelqu’un de spécial… Mon héros préféré, c’est Captain America. J’adore l’idée du drapeau américain qui affronte les défis qui se dressent sur son chemin. On essaie aussi de fusionner l’esprit de patriotisme et d’héroïsme. Ça peut inspirer les jeunes d’avoir un personnage africain qui est dans l’action. »S’identifier à un héros de la nation rajeuniDans la bibliothèque de Rustenburg où nous rencontrons Phemelo, le visiteur est accueilli par une étagère remplie de livres sur Nelson Mandela. Cette année marque les dix ans de sa disparition. Un comic book sur ce héros de la nation permettrait de maintenir un lien entre l’histoire du pays et la jeune génération, selon Brian Mako, bibliothécaire : « Je pense qu’ils le voient comme un héros, mais ils savent peu de choses sur lui. Une version rajeunie de Nelson Mandela permettrait aux jeunes de s’identifier. Un Nelson qui joue à la Xbox ou à la PlayStation… qui vit comme eux. »Commencée en 2018, comic book Le Jeune Nelson existe en deux épisodes. Un troisième est en préparation, car toute l’histoire de ce super-héros est encore à écrire.

Centrafrique: l’âne, une richesse inestimable pour les habitants de Birao (3/3)

| | Episode du | Durée : 00:02:10 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent, chaque jour, en deux minutes une photographie sonore d'un évènement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour.

La vie est bien meilleure pour ceux qui possèdent un ou plusieurs ânes à Birao. Cet animal est synonyme de grande richesse pour les habitants de cette ville située au nord-est de la Centrafrique où 80% de la population a des ânes. En plus d’être au cœur du fonctionnement des fermes et entreprises familiales, ils sont d’excellents animaux de compagnie.  De notre correspondant de retour de Birao Lorsqu’un âne brait, c’est qu’il a soif. Mais dans cette région désertique, il doit encore parcourir 15 km pour se désaltérer en ville. Indifférent au sable dans lequel ses sabots s’enfoncent, le corps tendu et le regard féroce, un âne rencontré sur notre chemin a déjà parcouru 10 km sans se reposer.Il transporte sur son dos un sac de manioc, des fagots, des régimes de banane, un bidon d’huile de palme et un petit garçon de 9 ans qui ne peut pas parcourir cette distance à pied. Une charge estimée à 500 kg selon Brice, son propriétaire.« J’ai acheté mes deux ânes à 50 et 60 000 francs CFA (entre 70 et 95 euros). Depuis cinq ans, ils m’aident à puiser de l’eau, à transporter mes récoltes ainsi que les membres de ma famille lorsqu’ils partent en voyage. Ils sont résistants et rarement fatigués. »« Sans lui, je ne peux rien faire »Ici, au pied de la colline de Golgota à l’entrée de Birao, nous croisons un âne qui refuse de bouger. Il est attelé à un chariot lourdement chargé et il porte deux personnes sur son dos, dont Abigaëlle.« Ça fait dix ans que j’ai acheté cet âne et je connais ses caprices. S’il ne veut pas avancer, je lui donne quelques coups de bâton et il repart. Il transporte nos récoltes et il nous transporte aussi. Sans lui, je ne peux rien faire. »À écouter aussiL’âne, au service de l’humanité depuis 7 000 ansLes ânes, cible d’un réseau de braconniersSous le soleil ou en temps de pluie, dans les champs ou dans les rues de Birao, l’âne est aussi le premier animal de compagnie à Birao. La tradition interdit d’ailleurs sa consommation.« À Birao, l’âne est très important pour les populations pauvres.  À l’origine, nos parents achetaient les ânes au Soudan », rappelle Martin Djamouss, un chef coutumier. « Si tu le soignes et qu’il mange bien, il peut vivre au-delà de dix ans. Il mange le mile, l’arachide, le haricot ou encore les herbes. S’il meurt, on l’enterre dignement. Ici, on ne mange jamais les ânes. »Selon une étude de la préfecture de Birao, 80 % des habitants possèdent un ou deux ânes. Mais avec le conflit au Soudan, les ânes sont devenus la cible d’un réseau de braconniers.À lire aussiLes ânes menacés d’extinction au Kenya

Éthiopie: la population locale s’implique dans la préservation des églises de Lalibela

| | Episode du | Durée : 00:02:14 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent, chaque jour, en deux minutes une photographie sonore d'un évènement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour.

Lalibela, petite ville de 25 000 habitants située à 680 km au nord d’Addis-Abeba, au cœur des hauts plateaux, abrite un joyau du patrimoine mondial : onze églises taillées dans la roche au XIIIᵉ siècle, que la France veut aider à préserver grâce au projet « Sustainable Lalibela ». Le projet a été suspendu pendant la guerre et la prise de la ville par le Front de Libération du Tigré pendant cinq mois en 2021. Depuis, les travaux ont repris en impliquant et formant la population locale. De notre correspondante à Addis-Abeba, Clotilde HazardPrès deux ans de guerre, les échafaudages ont repris leur place autour des églises monolithes de Lalibela. Il y a urgence, ces monuments façonnés dans une pierre poreuse, sont vulnérables aux infiltrations d’eau et menacent de s’écrouler. Ambachew est tailleur de pierre, il s’occupe des travaux de réparation. « Il y avait un espace qui s’était ouvert alors, on l’a rebouché. Après l’avoir bien nettoyé, on l’a reconstruit avec des pierres. On a dû le couvrir de mortier et le lisser. On essaye toujours d’avoir le même résultat que l’ancien. Comme vous pouvez le voir, il y avait beaucoup de fissures et on les a réparées. »Ambachew a aussi participé à la construction de trois ponts en pierre et des contreforts pour valoriser le site. Il fait partie des 32 artisans formés dans le cadre du projet financé par la France. Cette coopération franco-éthiopienne a pour but la conservation et la restauration de ce lieu de pélérinage chers aux orthodoxes, grâce à un budget de plus de cinq millions d’euros. Antoine Garric, tailleur de pierre en charge de la formation, enseigne de nouvelles techniques à ses élèves dont la sculpture de détail pour orner les ponts en pierre : « Ça reste de la taille de pierre, car tout est géométrique. C’est la première fois qu’il fait ça. On est parti d’un dessin, c’est un relevé d’une des fenêtres des églises. Il a tout fait, découper le gabarit, le poser sur la pierre, le tracer, et ensuite le tailler », détaille Antoine Garric également chargé du programme d’intervention d’urgence.Transmettre aux générations futuresDes centaines d’habitants travaillent sur le chantier pour effectuer la manutention des pierres. Après l’épidémie de Covid et la guerre, ces emplois sont bienvenus dans la ville en crise comme nous explique Dereb Mantesenut, qui habite à Lalibela : « Le travail est bien, j’espère que ça va continuer, car beaucoup de personnes n’ont pas de travail ici. J’espère qu’elles auront aussi la chance de travailler avec nous. »Pour Kidanemariam Woldegiorgis, responsable du projet, le but est de donner aux habitants les moyens de gérer leur patrimoine de manière autonome : « Nous avons formé plus de 130 personnes à la conservation des manuscrits, comment les préserver, les restaurer, les digitaliser et les transmettre aux générations futures. »Tous les manuscrits vont être archivés dans un nouveau centre de ressources numériques. À terme, les habitants pourront ainsi prendre soin de leur héritage religieux encore bien vivant.Pour en savoir plus sustanable Lalibela

Centrafrique: la saison des chenilles «Makongo», très appréciées des consommateurs, bat son plein

| | Episode du | Durée : 00:02:18 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent, chaque jour, en deux minutes une photographie sonore d'un évènement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour.

Chaque été, en juillet et en août, la saison des chenilles modifie les habitudes alimentaires des Centrafricains. Ces insectes, appelés localement makongos, apparaissent dans les forêts de la Lobaye, au sud-ouest du pays. C’est une ressource consommée dans toute la République centrafricaine, pour son goût unique et ses valeurs nutritives.  À l’aide d’instruments traditionnels, les fixeurs réveillent les habitants de ce campement et leur donnent le top du départ. À 4 heures du matin, les ramasseurs se divisent en deux groupes de cinq personnes. Armés de machettes, certains se fraient un chemin entre les arbres, les feuilles et les plantes pour faciliter la cueillette. D’autres, munis de paniers, de récipients et de sacs, ramassent les makongos qui traînent partout au sol.André, l’un des ramasseurs, explique le mécanisme de la cueillette : « Pour aller à la cueillette, on ne va pas au hasard. Les gens se rassemblent, ils prennent le rendez-vous et puis ils y vont. Ils font des petites huttes et puis c’est dans ces huttes qu’ils vont rester pour aller chercher les arbres où se trouvent les chenilles. Il suffit de trouver les chenilles dans les arbres en train de bouffer les feuilles. Et puis tu peux les cueillir. C’est une cueillette quoi. » Pour ramasser ces insectes, il faut bien connaître la forêt et faire preuve d’agilité. Eunice qui consomme les chenilles depuis 20 ans, assiste pour la première fois au ramassage : « Ça fait partie de mes aliments préférés. C’est une alimentation qui est saisonnière, donc pendant les chenilles, on peut en manger 5 jours sur 7, pour ne pas dire tous les jours. On prépare ça de différentes manières. Parfois, on les fait juste avec de l’huile, de l’oignon, quelques ingrédients. Ou parfois, on ajoute même de l’omelette ou même les feuilles de gnetum. Yabanda, c’est, c’est comme ça qu’on l’appelle. » À lire aussiCentrafrique: la cueillette des chenilles fait vivre la région de la LobayeLes makongos regorgent des vertus nutritives, Stephane Bria en sait quelque chose : « J’aime les chenilles parce que c’est très riche, parce qu’elles possèdent de la vitamine A, de la vitamine D et de la vitamine E. C’est aussi très riche au calcium et en fer.  Je peux même en manger  7 jours sur 7. Un paquet à 500 francs (76 centimes d’euros), mais pour nous, toute la famille, vous savez que nous sommes dans une famille africaine, chez nous, il y a beaucoup de personnes, donc pour manger ça convenablement, il faudrait que nous en payions pour 3 000 ou bien pour 3 500 (environ 5 euros). » En Centrafrique, la saison des chenilles dure deux mois. Tous les commerçants se ravitaillent dans cette immense forêt avant d’alimenter les marchés de la capitale et ceux des autres villes du pays. 

Reportage Afrique – RCA: un programme d’apprentissage du maraîchage

| | Episode du | Durée : 00:02:16 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent chaque jour en deux minutes une photographie sonore d'un événement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour. Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS = http://savoirs.rfi.fr/

À Zemio, la situation alimentaire est devenue précaire. Certains axes de ravitaillement sont coupés. Seuls quelques avions arrivent, mais avec très peu de marchandises. La ville coupée des sources habituelles de ravitaillement étouffe. Les étalages sont clairsemés et les prix ont explosé. Ici en plus, nombreuses sont les populations qui ont été déplacées par le conflit en 2017 et qui ne sont pas rentrées chez elles. Elles sont d’autant plus vulnérables. Dans ce contexte Acted a lancé un programme d’apprentissage du maraîchage auprès de 450 personnes.

Reportage Afrique – RCA: que reste-il de la LRA?

| | Episode du | Durée : 00:02:03 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent chaque jour en deux minutes une photographie sonore d'un événement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour. Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS = http://savoirs.rfi.fr/

En République Centrafriquaine, la LRA fait toujours trembler les villages du sud-est du pays. Le célèbre groupe armé du guerrier Jospeh Kony est toujours actif notamment en RCA, en RDC et au Soudan du Sud. Si le groupe fait moins parler de lui, les massacres de masse n’étant plus d’actualité comme par le passé, de nombreux enlèvements ont toujours lieu. Leur capacité de nuisance est toujours présente, mais il est difficile d’évaluer l’état de leurs forces. Des rescapés de la LRA témoignent…

Reportage Afrique – Centrafrique: des familles d’accueil à Obo pour les enfants sortis de la LRA

| | Episode du | Durée : 00:02:06 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent chaque jour en deux minutes une photographie sonore d'un événement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour. Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS = http://savoirs.rfi.fr/

En République centrafricaine, la LRA est toujours active dans le sud-est du pays. Des enlèvements ont encore lieu de manière fréquente. Des enfants sont aussi régulièrement relâchés. Plus de 110 en 2018. Des enfants qui ont été capturés dans les villages souvent loin des lieux de relâche. C’est pourquoi l’organisation Invisible Children a organisé la prise en charge de ces enfants dans des familles d’accueil à Obo et à Bria. Là-bas les enfants trouvent une famille accueillante que l’organisation aide d’une petite somme d’argent et d’objets de bases comme des nattes… En attendant que l’organisation retrouve leurs familles

Reportage Afrique – RCA: comment prendre en charge le sida dans les zones reculées? [1/5]

| | Episode du | Durée : 00:02:19 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent chaque jour en deux minutes une photographie sonore d'un événement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour. Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS = http://savoirs.rfi.fr/

En RCA, le taux de prévalence du sida est d’environ 4 % mais dans la région du Haut-Mbomou il atteint près de 12%. Une prévalence très importante dans une région reculée du pays dont tous les points d’accès par la route sont actuellement coupés. Les tests de dépistages et préservatifs y sont chose rare. Et la prise en charge difficile…

Reportage Afrique – Éthiopie: exposition «Cartooning for Peace»

| | Episode du | Durée : 00:02:40 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent chaque jour en deux minutes une photographie sonore d'un événement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour. Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS = http://savoirs.rfi.fr/

La liberté de la presse était célébrée un peu partout dans le monde ce vendredi 3 mai. Et cette année la capitale choisie par l’UNESCO était à Addis-Abeba, en Éthiopie. Outre les journalistes, les photojournalistes, la profession de dessinateur de presse ou de caricaturiste était mise à l’honneur. Notamment par l’intermédiaire de l’association Cartooning for peace, créée en 2006 à l’initiative du Secrétaire général de l’ONU d’alors, le Ghanéen Kofi Annan, et du dessinateur français Plantu. Cartooning for peace, ou « dessiner pour la paix », a inauguré une exposition de dessinateurs du continent au siège de l’Union africaine puis à l’Alliance française d’Addis-Abeba. 26 artistes ont aussi pu partager un peu de leur passion avec des enfants.

Reportage Afrique – Sénégal: l’objectif «zéro bidonvilles» de Macky Sall à l’épreuve du terrain

| | Episode du | Durée : 00:02:12 | RSS | Site Web

Nos correspondants et envoyés spéciaux sur le continent africain vous proposent chaque jour en deux minutes une photographie sonore d'un événement d'actualité ou de la vie de tous les jours. Ils vous emmènent dans les quartiers ou dans les campagnes pour vous faire découvrir l'Afrique au jour le jour. Retrouvez les sujets traités par cette émission sur RFI SAVOIRS = http://savoirs.rfi.fr/

De nombreux défis attendent le président Macky Sall pour son quinquennat. « Zéro bidonvilles » au Sénégal, c’est par exemple une de ses promesses phares de campagne. Sur le terrain, il reste beaucoup à faire pour mettre fin à l’habitat précaire. D’après la banque mondiale plus d’un sénégalais sur trois vit dans un bidonville.