Au fil des histoires 2/2 Rencontres exotiques

| France Culture | Episode du | Durée : 00:32:50 | RSS | Site Web

Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:50 – Talmudiques – par : Marc-Alain Ouaknin – . "C’est Ghita, l’aînée de mes sours, de dix ans plus âgée que moi, qui fut chargée de m’accompagner. Ce dont elle était ravie et qui la reposait de son quotidien de célibataire au service de notre mère. Nous avons pris le train et passé la nuit à l’hôtel. Au petit matin, elle m’a accompagné au port pour prendre le Ville-d’Oran, le paquebot qui faisait la navette entre Oran et Marseille. * J’ai passé une bonne partie des trente-six heures de la traversée à lire les Mémoires d’Hadrien dont j’avais acheté un exemplaire en poche. Je ne connaissais pas Marguerite Yourcenar, mais j’en suis devenu un inconditionnel.  […] Je suis descendu, j’ai fait quelques pas, j’ai posé mes valises et j’ai fait quelque chose qui m’a paru immédiatement ridicule mais dont je mourais d’envie : je me suis agenouillé, j’ai embrassé le sol et j’ai dit à haute voix, sur le mode des premiers vers du Virgile des Géorgiques, « Salve magna parens frugum ô Gallia tellus. »  Je n’ai pas pleuré, mais il s’en est fallu de peu et je ne pouvais que me réjouir d’avoir trouvé ce moyen de saluer la France dont je foulais le sol pour la première fois. La France qui a toujours été pour moi une promesse. La France qui nous avait ramenés dans son sein. […] La France qui nous parlait, à longueur de lectures et de dictées, de feuilles mortes, de saisons, de cabanes sous la neige, de givre et de frimas, de glaciers, de lacs, de ruisseaux, de cathédrales… toutes choses étrangères à notre environnement et que nous devions nous efforcer d’imaginer ! Mais plus encore et surtout la France de Montaigne, de Pascal, de Racine, de Molière, de Chateaubriand, d’Hugo, de Lamartine, de Musset, de Vigny, de Baudelaire, de Rimbaud. Tout autant que celle de Ronsard, d’Agrippa d’Aubigné, de Villon ou de la chanson de Roland. Et que dire encore de Balzac, de Flaubert et de Stendhal ? Michelet et de Renan ? De Mauriac et de Gide, de Sartre et, par-dessus tout, de Camus qui avait réussi à greffer sur elle le ciel et le soleil de notre Algérie ?" L’invité Médecin, pédiatre de formation psychanalytique, Aldo Naouri est  l’auteur d’une ouvre très importante. Doué d’un formidable talent de  conteur, ses ouvrages sont éclairés par des récits de cas qui donne à la  théorie qu’il offre une saveur inégalable.  Ce sont ces talents de  conteur qu’il met au service de son ouvrage le plus récent Des bouts d’existence aux éditions Odile Jacob où il raconte à la fois son parcours personnel et professionnel, un roman d’aventure passionnant! Archive sonore Le livre de l’invité Des bouts d’existence chez Odile Jacob Quatrième de couverture  « C’était ma mère, ma mère à moi, insaisissable, avec son côté   énigmatique qui rajoutait à sa force et à ce que je vivais comme son   pouvoir protecteur. Les choses étaient ainsi. Je devais m’y faire, je   devais les accepter.  C’est ainsi que, soir après soir et tout au long de ces années, elle nous a raconté successivement toutes sortes d’histoires. C’est ce que j’ai voulu faire dans ces bribes de mémoire, raconter et transmettre.  Je  n’ai la nostalgie d’aucun lieu. Je n’ai pas la nostalgie de la  Libye et  encore moins celle de l’Algérie. Je me suis intégré,  parfaitement même,  mais sans jamais me fondre dans la masse ni  m’assimiler. Même si rien  ne le laisse penser, j’ai été, je suis, je  reste en effet un migrant.  J’espère que chacun tirera de cet écrit ce qu’il voudra ou ce qu’il pourra. Jusqu’à prendre acte que, de quelque manière qu’elle se déroule, la vie est toujours une belle aventure ! » Aldo Naouri  – réalisé par : Dany Journo

Au fil des histoires 1/2 Des bouts de langues

| France Culture | Episode du | Durée : 00:34:00 | RSS | Site Web

Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:34:00 – Talmudiques – par : Marc-Alain Ouaknin – . "Dimanche dernier je prenais le train pour Paris dans une petite gare de province. * Dans la salle d’attente il y avait une petite machine que j’avais déjà vue dans d’autres endroits publics mais dont je n’avais pas encore testé l’usage.  Pas une machine pour prendre un ticket pour faire la queue à tel ou tel guichet. Pas une machine à café, à chips ou à bonbons, ou quelque chose de comparable. Pas non plus une machines pour obtenir des étiquettes à apposer sur ses bagages. Non ! Rien de tout cela. C’était une machine à distribuer des histoires.  Choisissez d’appuyer sur l’un des trois boutons et l’appareil vous offre sous forme de rouleau, des contes, des poèmes et des nouvelles – à lire d’un trait – en une, trois ou cinq minutes. Je tentais ma chance. Un conte à lire en une minute. C’était parfait pour commencer. L’histoire était très prenante et bien écrite.  Je m’en offris une seconde puis une troisième et c’est comme cela que j’ai raté mon train ! Si je rapporte cette anecdote, c’est parce qu’elle m’a rappelé à quel point les êtres humains en général sont fascinés par les histoires et plus encore ont un besoin d’histoire. Et cela depuis la nuit des temps, de jour en jour, de nuit en nuit, de l’enfance à l’adolescence, de l’adolescence à l’âge adulte.  J’aime me souvenir de ce passage du livre de la création, le séfer yetsira, que je cite souvent : «  Le monde à été cré par le livre, les nombres et les histoires. »  Certaines personnes savent non seulement les raconter mais les écrire. Ce sont les écrivains. Des êtres particuliers qui sentent le monde et les humains avec une acuité et une sensibilité particulière. Qui savent rendre vivant des lieux, des situations, des sentiments, ceux des autres mais aussi les leurs.  Ils racontent, se racontent. Dans ce cas là leurs souvenirs sont leurs meilleurs compagnons.  Mais il n’est pas facile de se souvenir. La boîte à souvenirs n’est justement pas une machine où l’on peut appuyer sur un bouton.  La boîte à souvenir est comme un petit animal qu’il faut apprivoiser, et cela demande de la patience et du temps. Un temps qu’il n’est pas toujours possible de prendre ou que l’on se sait pas ou plus prendre, car très souvent c’est nous qui sommes pris par le temps. Alors les souvenirs attendent et patientent mais je ne crois pas me tromper en disant aussi qu’ils s’impatientent.  Alors un jour ils décident de ne plus rester dans la boîte et ils viennent vous chercher, vous tirer par la manche et vous mettent un crayon dans la main et vous commencer à écrire. Et vous découvrez que s’il n’est pas facile d’écrire, c’est cependant un exercice joyeux et jubilatoire, magique en quelque sorte.  Et vous pensez à Proust qui décrit « ce jeu où les Japonais s’amusent à tremper dans un bol de porcelaine rempli d’eau, de petits morceaux de papier jusque-là indistincts qui, à peine y sont-ils plongés s’étirent, se contournent, se colorent, se différencient, deviennent des fleurs, des maisons, des personnages consistants et reconnaissables ». Et en lisant certains livres on sait que les souvenirs sont heureux d’avoir pu sortir de leur boîte parce que ce que l’on ressent en les découvrant c’est une véritable joie, une danse de l’esprit, et aussi du temps, farandole du présent qui donne la main au passé, celui de l’écrivain mais aussi le nôtre, comme si par enchantement en ouvrant la porte de ses souvenirs c’est un peu la porte des nôtres que l’écrivain entre’ouvrait aussi." [M-A. O]  L’invité Médecin, pédiatre de formation psychanalytique, Aldo Naouri est l’auteur d’une ouvre très importante. Doué d’un formidable talent de conteur, ses ouvrages sont éclairés par des récits de cas qui donne à la théorie qu’il offre une saveur inégalable. Ce sont ces talents de conteur qu’il met au service de son ouvrage le plus récent Des bouts d’existence aux éditions Odile Jacob où il raconte à la fois son parcours personnel et professionnel, un roman d’aventure passionnant! Archives sonores Les voix de la mère et – réalisé par : Dany Journo

La Haggada infinie 1/2 Dessine moi un agneau !

| France Culture | Episode du | Durée : 00:32:38 | RSS | Site Web

Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:38 – Talmudiques – . Les invités Rivon Krygier est rabbin de la communauté Adath Shalom, _, Paris XVe, et docteur en Science des religions. _ Il est l’auteur de divers articles et ouvrages : La Loi juive à l’aube du XXIe siècle, À la limite de Dieu, L’homme face à la Révélation, La Meguila d’Esther (commentaire) illustrée par Gérard Garouste. Gérard Garouste  est peintre,  graveur et sculpteur. _Il est exposé dans les plus prestigieux musées  dans le monde entier. _ De nombreux ouvrages sont consacrés à son ouvre.  Il a été élu en 2017 à l’Académie des beaux-arts. Il est aussi l’auteur  de : L’Intranquille. Autoportrait d’un fils, d’un peintre, d’un fou. Transition sonore Texte commenté de Franz Kafka : "Un croisement" Je possède un curieux animal, moitié chaton, moitié agneau. Il fait partie des biens de mon père dont j’ai hérité. Mais c’est surtout auprès de moi qu’il s’est développé, jadis il était bien plus agneau que chaton. Maintenant il a autant de l’un que de l’autre. Du chat la tête et les griffes, de l’agneau la taille et la forme ; des deux, les yeux qui sont fuyants et sauvages, les poils qui sont doux et courts, les mouvements, autant des bonds que des pas furtifs.  Au soleil, sur le rebord de la fenêtre, il se love et ronronne, dans les champs il court comme un fou et on a du mal à l’attraper. Il fuit devant les chats et il attaquerait bien les agneaux.  Au clair de lune, la gouttière est sa voie de prédilection. Il ne sait pas miauler et il a horreur des rats. Il peut rester pendant des heures aux aguets devant le poulailler, mais il n’a encore jamais saisi une occasion pour tuer. Je le nourris avec du lait sucré, c’est ce qui lui convient le mieux. Il le lape à grandes lampées en le faisant passer sur ses dents de carnassier. C’est naturellement un grand spectacle pour les enfants.  Le dimanche matin, c’est l’heure de la visite. J’ai le petit animal sur les genoux et tous les enfants du voisinage sont regroupés autour de lui.                 Ils posent les questions les plus merveilleuses, questions auxquelles aucun homme ne saurait répondre. Pourquoi n’y a-t-il qu’un seul animal de cette espèce ? Pourquoi est-ce justement moi qui le possède ? Un animal de cette espèce a-t-il existé avant lui et que se passera-t-il après sa mort ? Se sent-il seul ? Pourquoi n’a-t-il pas de petits ? Je ne me donne pas la peine de répondre et me contente de montrer ce que j’ai, sans autre explication. Parfois, les enfants apportent des chats avec eux, une fois ils ont même amené deux agneaux. Mais, contrairement à ce qu’ils attendaient, il ne s’est produit aucune scène de reconnaissance. Les animaux se sont regardées calmement de leurs yeux d’animaux, considérant visiblement leur existence réciproque comme une donnée divine. Sur mes genoux, l’animal ne connaît ni la peur ni l’envie d’attaquer. C’est quand il est serré contre moi qu’il se sent le plus à l’aise. Il se sent lié à la famille qui l’a élevé. Il ne s’agit pas là d’une fidélité extraordinaire, mais du véritable instinct d’un animal qui a certes sur terre des parents innombrables, mais n’a peut-être aucun semblable du même sang, et pour lequel, par conséquent, la protection qu’il a trouvée chez nous est sacrée. Je ne peux m’empêcher de rire quand il me tourne autour en me flairant, quand il se faufile entre mes jambes et que je n’arrive pas à m’en séparer.  Cela ne lui suffit pas d’être agneau et chat, on dirait qu’il veut être aussi un chien. – Un jour, alors que j’étais occupé par mes affaires commerciales et tout ce qui en dépend, et que je ne parvenais pas à trouver une solution – ce qui peut arriver à tout le monde – au point de vouloir tout laisser tomber, j’étais assis dans un rocking-chair avec l’animal sur les genoux, et je vis, en baissant les yeux par hasard, des larmes couler de ses gigantesques moustaches. – Etaient-ce les miennes, étaient-ce les siennes ? – Est-ce que le chat à l’âme d’agneau avait aussi une ambition humaine ? – De mon père je n’ai pas hérité grand-chose, – réalisé par : Dany Journo

La Haggada infinie 1/2 la nuit des questions

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Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:13 – Talmudiques – par : Marc-Alain Ouaknin – . Les dix commandements commencent par cette phrase : « Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude. »  * Tout se passe comme si Dieu donnait à lire sa carte d’identité. Si tu veux savoir qui je suis voilà ce que tu peux en dire : je suis un Dieu qui fait sortir de l’esclavage, un Dieu de libération et un Dieu de la liberté. La sortie d’Égypte est le véritable cour et la colonne vertébrale du judaïsme et de s’en souvenir est un engagement majeur. La sortie d’Égypte oriente le texte de la Tora en amont et aval. Aller vers la terre de la Promesse c’est en passer d’abord par l’Égypte. Pour s’y former, grandir, mûrir puis en sortir.  **L’impératif du souvenir est complexe. ** Comment construire le souvenir alors que nous sommes toujours plus enclin à oublier ? Le judaïsme a cherché à donner des réponses à cette question, dont la plus essentielle est d’instaurer une fête de la mémoire et du souvenir.  Non pour fêter la mémoire et le souvenir, mais s’y exercer, apprendre à les mettre en ouvre, à les travailler, à dynamiser les mécanismes psychiques qui y sont impliqués.  Une fête, car cet apprentissage doit être festif, ludique, il doit commencer tôt dans une vie et se répéter chaque année, une fête qui concerne tout le monde à commencer par les enfants, sans oublier les adultes qui pour l’occasion doivent aussi quelque part redevenir des enfants et savoir jouer, avec les mots et les objets.  Objeu aimait à dire Pierre Fédida reprenant un mot de Francis Ponge, un jeu qui émerveille et rend joyeux : « objoie » ! Cette fête se nomme Pessah, c’est la Pâque juive, elle dure 7 ou 8 jours, c’est selon, et qui commence le premier soir par un véritable laboratoire de la mémoire, un véritable atelier du souvenir. Un moment exceptionnel où la famille, les amis, et le passant qui veut bien se joindre à la fête se retrouve autour d’une table pour un grand jeu qui va durer toute la nuit.  C’est le Séder.  Un mot qui veut dire "ordre", c’est-à-dire un rite avec des règles précises, un ordre précis, mais qui laisse aussi place à l’improvisation. Ce rite, qui est aussi un jeu, nécessite d’en comprendre les règles et le fonctionnement, et pour ce faire les maîtres du Talmud ont écrit un manuel qui est distribué à chaque participant au début de la soirée et qui les guide, étape par étape, qui sont au nombre de 14.   Ce manuel s’appelle la Haggada de Pessah, littéralement le Récit de Pessah. C’est le livre de la littérature juive qui compte le plus d’éditions différentes.  Mille fois traduit, commenté, expliqué, avec cette particularité d’avoir été le lieu d’expression privilégié pour les artistes, les musiciens, les calligraphes, les miniaturistes et pour les peintres. Trouver le bon manuel, la bonne Haggada est difficile, car le jeu est complexe. Et il fallait que se rencontrent les immenses talents d’un rabbin et d’un peintre pour nous offrir aujourd’hui une nouvelle Haggada qui va faire date dans l’histoire de l’édition. Les invités Rivon Krygier est rabbin de la communauté Adath Shalom, , Paris XVe, et docteur en Science des religions.  Il est l’auteur de divers articles et ouvrages : La Loi juive à l’aube du XXIe siècle, À la limite de Dieu, L’homme face à la Révélation, La Meguila d’Esther (commentaire) illustrée par Gérard Garouste. Gérard Garouste  est peintre,  graveur et sculpteur. Il est exposé dans les plus prestigieux musées  dans le monde entier.  De nombreux ouvrages sont consacrés à son ouvre.  Il a été élu en 2017 à l’Académie des beaux-arts. Il est aussi l’auteur  de : L’Intranquille. Autoportrait d’un fils, d’un peintre, d’un fou. La transition musicale Le livre des invités La Haggada aux quatre visages Traduite et commentée par  Rivon Krygier, oeuvres originales de  Gérard Garouste, éditions In Press.  Mémorial vivant de la libération d’Égypte du peuple  hébreu, la Haggada est à la fois une pièce maîtresse de la tradition  juive et une ouvre de pensée dont la portée est uni – réalisé par : Dany Journo

De la pureté des mélanges: réflexion sur l’autre pureté

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Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:13 – Talmudiques – Avec Catherine Challier

Les forces de la pureté

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Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:30 – Talmudiques –

Pourim : à l’écoute des mots

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Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:33:16 – Talmudiques –

Spinoza à l’épreuve des textes 2/2 Révélation, croyance et interprétation

| France Culture | Episode du | Durée : 00:32:28 | RSS | Site Web

Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:28 – Talmudiques – par : Marc-Alain Ouaknin – réalisé par : Rafik Zénine

Spinoza à l’épreuve des textes 1/2 Croire, savoir et interpréter

| France Culture | Episode du | Durée : 00:32:23 | RSS | Site Web

Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:32:23 – Talmudiques – par : Marc-Alain Ouaknin – réalisé par : Rafik Zénine

Le marqueur antisémite 2/2 Le défi des mots

| France Culture | Episode du | Durée : 00:33:59 | RSS | Site Web

Une exploration des multiples facettes de la pensée juive, de leurs résonances dans la culture occidentale, et de leur mise en perspective avec les autres cultures.

durée : 00:33:59 – Talmudiques – par : Marc-Alain Ouaknin – réalisé par : Rafik Zénine